Tout écrivain est un dresseur de mots. Les lettres, signes tangibles de ce dressage, noircissent les pages des livres qui envahissent les rayons des bibliothèques, obscurcissant l'espace mental. Les "tueurs" de lettres ont été de ces dresseurs; ils ont formé un club, qui se réunit chaque samedi devant un public de lecteurs...